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Essai Skoda Kodiaq RS

Essai Skoda Kodiaq RS 4×4 : « Air » Sportif

Essai Skoda Kodiaq RS 4×4 : est-ce la SUV ultime? Nous l’essayons sur tous les chemins pour le vérifier !

L’air de rien, il y a de moins en moins de véhicules sportifs chez les constructeurs généralistes. Alors quand une voiture arbore le badge RS, plein d’images nous viennent en tête. Mais peut-être pas un SUV 7 places. Et pourtant, Skoda a osé apposer cette dénomination sur son grand SUV Kodiaq. Alors, à quoi ça sert un SUV RS ? À flatter son égo ? À rappeler à son chauffeur des sensations passées à bord de Youngtimers ? La réponse est peut-être un peu des deux. Nous avons essayé le Skoda Kodiaq RS à l’occasion de la dernière manche du Trophée Andros, l’occasion de rouler sur les belles routes du Massif Central.

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Essai Skoda Kodiaq RS

Avez-vous remarqué la mise à jour esthétique du Skoda Kodiaq ? Regardez bien, les changements sont plus nombreux qu’on ne l’imagine. Vu de face, la calandre est passée de 4 à 6 côtés, l’ensemble des phares a été redessiné, ainsi que le pare-chocs. Vu de dos, les feux se sont légèrement affinés, avec un dessin un peu plus complexe, et les jantes évoluent aussi. Quant à l’intérieur, ce qui est le plus visible est le changement de volant qui passe à 6 branches.

Concernant le Skoda Kodiaq RS, son esthétique se veut encore plus agressive, notamment avec une prise d’air en 3 parties, et des catadioptres plus expressifs à l’arrière. Bref, un look de méchant. Seule incompréhension à nos yeux, le dessin des jantes (20″ nommées Sagitarius), très travaillées ne laissant que très peu apparaître les étriers de freins, pourtant colorés !

Bye-bye Diesel

De 240 ch à 245 ch : la puissance du Skodia Kodiaq RS n’évolue presque pas avec le restylage. Et c’est bien le seul statu quo, car l’unique motorisation de cette finition passe du diesel à l’essence sans hybridation. Au revoir 2.0 TDi bi-turbo 240 ch 500 Nm, bonjour 2.0 TSi 240 ch et 380 Nm. Première conséquence, le taux de C02 passe de 152 à 198 g/km minimum. Seconde conséquence, la consommation normalisée bondit de 6,4 à 8,7 l/100 km. Mais ne gâchons pas notre plaisir de suite sur les conséquences financières, prenons le temps de profiter de quelques jours à bord du Skoda Kodiaq RS.

L’avantage de se passer du diesel, c’est que les bruits sont plus contenus. Mais ce serait vite oublier que nous sommes à bord d’une version RS. L’échappement a été travaillé, pour gronder quand le moteur démarre. Mais ce n’est pas le seul artifice qui se cache dans le Skoda Kodiaq RS ! Une enceinte est dissimulée pour amplifier la connotation sportive du moteur. C’est flagrant en mode sport, plus discret en mode confort, absent en mode éco. Et ça fait du bien de passer en mode éco, on trouverait presque le Skoda Kodiaq RS silencieux. 

Silence oublié

Les différents modes influencent plusieurs paramètres (direction, boîtes de vitesses) et si vous tenez au mode sport, sans le bruit, un mode « individuel » vous permettra d’affiner votre réglage idéal. On ne peut pas en dire autant des réglages du siège. Car comme tout sportif, le Skoda Kodiaq est équipé de sièges baquets, avec appui-têtes intégrés. Ah oui, leur mousse est aussi plutôt rigide. Sensibles du dos s’abstenir ! Après avoir trouvé une position de conduite acceptable, c’est l’heure de partir. Nous avons une version 7 places, mais nous laissons la configuration en mode 5 places pour profiter des 630 l du coffre. C’est 90 l de moins qu’une version 5 places sans 3e rang. 

Nos premiers obstacles ne sont pas les routes montagneuses, mais les dos d’ânes plus ou moins aux normes, et les nids de poule. Heureusement, les suspensions (pilotées de série) sont souples et absorbent bien les reliefs de la route. Et sur l’autoroute, les suspensions du Skoda Kodiaq RS trouvent un terrain idéal, et compensent l’inconfort des sièges. Las, c’est le bruit qui prend le relais, surtout au niveau des rétroviseurs. Le grand toit vitré et ouvrant, lui, n’émet aucun bruit douteux.

Routière et Sûre

Nous profitons d’un trafic assez calme pour activer le régulateur adaptatif, associé au maintien dans la voie. Le mode est sélectionné automatiquement, et nous permet d’avoir un garde-fou pour les 4 heures d’autoroute pour rejoindre Clermont-Ferrand. Sans être un frein ergonomique, tous les réglages se font via un troisième commodo, comme tous les produits du groupe Volkswagen. Habitude difficile à prendre car, par moment, il nous est arrivé de baisser la vitesse de 10 km/h plutôt que de mettre le clignotant pour doubler… Pas pratique et même dangereux si une voiture vous suit de près !

Il faudra aussi prendre de l’avance pour doubler car, même réglé au minimum, le maintien de distance prend beaucoup d’avance et n’hésitera pas à ralentir de façon un peu trop anticipée. Autre moyen de ralentir, le lecteur automatique de panneau, qui nous a fait quelques ralentissements incongrus. Pas aussi dangereux que notre expérience à bord de la Volkswagen Passat Alltrack, mais mieux veux se rappeler que le risque existe pour être réactif. 

Clermont-Ferrand approche, nous décidons de rouler avec le limiteur de vitesse. Mais il faudra un peu d’entraînement pour passer du mode régulateur au limiteur rapidement : appuyer sur un des boutons du volant, descendre dans le menu qui s’affiche sur le compteur et valider le choix. Et bonus : il faut refaire la manipulation après chaque coupure moteur !

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La ville, son plus grand obstacle ?

Nous nous faufilons en ville pour d’abord visiter le musée de l’Aventure Michelin, puis le centre-ville de Clermont-Ferrand. Il faut se rappeler du gabarit (4,70 x 1,88 m) et que le diamètre de braquage aurait pu être plus court : 11,6 m entre trottoirs. Heureusement, les caméras couvrent les 360° autour du Skoda Kodiaq RS et elles sont de bonne qualité. Le menu permet de zoomer tantôt sur une roue tantôt sur l’arrière, même si la déformation de l’angle de vue donne l’impression d’être plus proche qu’on ne l’est réellement. Les traits de distance auraient gagné à être plus contrastés également. 

Autre aide, le rétroviseur droit ne fait pas que s’orienter vers le bas en marche arrière, l’angle choisi permet de voir la position de la roue arrière et éviter de la rayer ! Une fois stationnés, parfois à l’étroit, nous profitons des protections des arêtes de portes pour ne pas abîmer les portières. Il ne faudra pas non plus oublier de les condamner, car il n’y a pas de verrouillage à l’éloignement. Nous ne sommes pas obligés de passer par les clés pour le faire, un appui sur la poignée suffit. 

Du coffre derrière…

De retour à la voiture, après un passage à la première boutique Lego de France, nous remplissons un peu plus le coffre et il reste toujours un peu d’espace ! Et sans réduire la place des passagers arrière. La banquette est coulissante, le dossier inclinable, mais la mousse du même acabit que les sièges avant. Nous n’avons pas jugé le confort sur longue distance, mais il y a assez de place pour les jambes et la tête. Autre aveu :  nous n’avons pas testé les sièges du rang 3, la place pour les pieds et le peu de profondeur de la cave à pied nous en ont dissuadés. 

Il est temps de reprendre la route et de monter vers la station de sports d’hiver de Super-Besse. La nuit est tombée, le brouillard aussi. Il est très épais, et les antibrouillards avant nous permettent de compenser un halo éblouissant créé par la puissance des phares. Difficile à expliquer, à part d’écrire que c’est assez inconfortable. Heureusement, la brume s’est vite dissipée, et nous avons pu profiter de la puissance des phares leds adaptatifs, tant en position route que pleins phares. 

Du coffre devant ?

Nous ne sommes pas dans les Alpes, mais les pentes se font sentir. Nous passons la boîte de vitesses en mode sport d’un mouvement vers le bas du levier. Surprise : l’enceinte repasse le son du mode sport ! L’ambiance était presque calme…. Les rapports s’enchaînent plus rapidement et le moteur est plus réactif. Il ne nous a jamais semblé faillir. Mais comme tout moteur sportif, nous passons par la station-service avant la station de ski. Mais ne parlons toujours pas des choses qui fâchent maintenant et laissons durer le suspense…

Les freins n’ont jamais faibli en descente malgré un poids de 1800 kg à vide.  À vide, oui. Il nous a cependant manqué de frein moteur. Seul le passage de la boîte de vitesses en mode sport aide à ralentir un peu les tours minutes, au détriment du confort acoustique. 

Pause Blanche-Neige

Après une journée sans voiture à profiter du Trophée Andros, nous avons repris le volant à la recherche d’une route enneigée pour reproduire l’exploit des pilotes… Bien sûr que non ! Nous avons juste voulu tester la transmission intégrale, le mode Off-Road et vous faire de belles photos. Nous trouvons un petit chemin où il nous est autorisé de rouler, avec une petite pente bien sympathique. 

Nous n’avons pas les capacités d’un Suzuki Jimny sur le Skoda Kodiaq RS, mais, bien aidé par des pneus hiver, il ne s’en sort pas si mal. Nous ne roulerons pas des heures de cette façon, mais après quelques hésitations, le Skoda Kodiaq RS surmonte l’obstacle. 

Quelques clichés plus tard, nous prenons le chemin inverse, et la descente est maîtrisée. Le mode Off-Road contrôle la vitesse en descente et nous n’avons besoin que de toucher le volant pour orienter le Skoda Kodiaq RS dans la bonne direction. 

Comportement Volcanique ?

A défaut de déplacer des montagnes, nous nous déplaçons dans les volcans endormis du Massif Central. Après une pause déjeuner bien méritée au restaurant des 500 diables (que nous vous recommandons), nous empruntons le col de la Croix Saint-Robert exceptionnellement ouvert en cette saison. Merci au beau temps qui nous accompagne le temps de l’essai. Votre rédacteur est passé sur le siège passager à la faveur de notre photographe et se surprend à retrouver exactement le même siège sur le conducteur ; ce n’est pas si courant dans le groupe Volkswagen. Même siège, même défaut : c’est un peu trop rigide !

Ce n’est pourtant pas une punition d’être passager, les sièges baquets font leur travail dans les virages. Nous n’avons cependant pas le même avis sur leur maintien, l’un le trouve trop prononcé, l’autre se surprend à ne pas être trop serré ! Le confort reste une affaire personnelle ! Le comportement du Skoda Kodiaq RS surprend. Il ne souffre pas trop de roulis, et le gabarit s’appréhende facilement sur ces routes un peu étroites. 

La descente du col souffre du même mal qu’à la montée vers Super Besse : ça manque de frein moteur. Promis, on ne vous l’écrira pas une troisième fois ! La position passager permet de découvrir le paysage du Massif Central en se promettant de revenir avec une vrai monture sportive. Car le Skoda Kodiaq reste avant tout une familiale assez lourde, avec des RS accolés à l’extérieur comme à l’intérieur, mais ce ne sont pas les artifices sonores qui la transformeront en Audi TT ! Et même si le moteur est convaincant, il est plus rond que pointu. Un peu à l’image du paysage.

Skoda Kodiaq : une gamme large

La version R.S. est la seule solution pour rouler en 4×4 et en essence sur le Skoda Kodiaq. La transmission intégrale est donc aussi disponible avec le 2.0 TDi de 200 ou 150 ch. Ce dernier est disponible aussi en 2 roues motrices. Le 1.5 TSi complète la gamme essence, avec une puissance de 150 ch. C’est aussi le seul moteur à être disponible en boîte manuelle, la DS7 s’étant généralisée. Il est dommage qu’une motorisation hybride ne soit pas disponible. 

Si le look de la RS vous plaît, sachez que la finition Sportline est disponible sur toutes les motorisations associées à la boîte DSG7. Elle perd les monogramme RS bien sûr, ainsi que quelques éléments de présentation spécifiques (laquages noirs, jantes, surpiqûres, échappement visible… et le double-plancher).

Si vous préférez une version plus classique, avec des sièges plus accueillants, le Skoda Kodiaq se décline en finition Active, Ambition, Business, Style et Laurin & Klément. L’ensemble des finitions et motorisations est décliné en version 5 ou 7 places (+ 1 160 €). La gamme commence à 31 410 € (1.5 TSi 150 ch BVM6 Active 5 places).

Essai Skoda Kodiaq RS : les équipements

Notre Skoda Kodiaq RS 7 places est proposé à partir de 53 260 €.  Citons les principaux équipements de notre point de vue :

  • Front Assist (freinage automatique d’urgence incluant la protection des piétons)
  • Lane Assist (assistant de maintien dans la voie) 
  • Pack visibilité (allumage automatique des phares, détecteur de pluie, rétroviseur intérieur électrochromatique)
  • AutomaticLight Assist (gestion intelligente des feux de route)
  • Détection des panneaux de signalisation
  • Régulateur de vitesse adaptatif jusqu’à 210 km/h
  • Hayon électrique + fonction Virtual Pedal
  • DrivingMode Select, DCC + Bouton Offroad
  • Digital Cockpit 10 » 
  • Système de navigation Amundsen 8″
  • Sièges avant chauffants
  • Sellerie cuir/Alcantara® sport noire avec inscription RS
  • Climatisation automatique tri-zone
  • KESSY Full : ouverture et démarrage sans clé
  • Vitres & lunette arrière surteintées
  • Rétroviseurs électriques noir brillant, chauffants, rabattables électriquement et électrochromatiques
  • Préparation pour dispositif d’attelage
  • Care Connect+ Infotainment Online 1 an

Si vous n’aimez pas le gris perle de base, il faut y ajouter 300 € pour notre Bleu Racing. C’est aussi le prix des 4 autres couleurs, sauf le Rouge Velvet proposé contre 700 €. Les autres options de notre Skoda Kodiaq sont :

  • Ciel de toit Suedianoir : 680 € (implique d’office l’option listée ci-après)
  • Toit ouvrant panoramique électrique en verre : 1 185 €
  • Pack Travel AssistPremium : ACC 210km/h prédictif, Park Assistant, Lane Assist, incluant l’Emergency Assist et le Traffic Jam Assist : 395 €
  • Pack Famille : Protection des arêtes de portes, poubelle de voyage : 200 €
  • Soundsytem Canton : 485 € (non disponible actuellement)
  • Sièges conducteur et passager à réglage électrique, à mémoire côté conducteur, avec réglage lombaire électrique : 550 €
  • Dispositif phonebox à recharge par induction : 315 €
  • Roue de secours à encombrement réduit (oui, c’est le nom officiel de la roue galette chez Skoda !) : 155 €

Les choses qui fâchent !

L’addition s’élève à 57 525 €. Le taux d’émission C02 passe à 200 g/km, soit un malus de 18 188 € ! Le poids de notre Skoda Kodiaq RS avec un conducteur de 75 kg est de 1 889 kg, il faut ajouter le malus poids au total déjà bien élevé: 890 €. Pour mémoire, ce malus est exonérable si vous avec 3 enfants et plus. Nous vous avions indiqué tous les détails de ce nouveau malus dans l’essai du Renault Trafic. Notre Skoda Kodias RS vaux donc 76 603 €.

Côté consommation, notre premier trajet autoroutier nous a fait atteindre 10,52 l/100 km. Sur l’ensemble des 1154 km parcourus, majoritairement sur route secondaire, le Skoda Kodiaq RS nous a gratifiés d’une consommation moyenne de 9,97 l/100km (contre 8,7 l/100km donnée par le constructeur). Avec seulement 2 passagers. Une voiture familiale et « sportive » revient cher !

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Et les autres sportives ? 

Pour la concurrence, nous aurions pu aller chercher la comparaison avec son cousin Volkswagen Tiguan All Space, voire les autres modèles 7 places que sont le Renault Espace ou Dacia Jogger. Mais nous avons cherché à voir ce qu’il y avait de sportif pour un budget similaire, sans regarder le nombre de places. Nous pouvons donc vous proposer :

  • BMW M235 xDrive Gran Coupé
    • 55 850 € sans option, 
    • 306 ch, 
    • malus 2 544 € 
    • soit 58 394 €
  • Renault Mégane R.S. Trophy
    • 48 300 €  sans option, 
    • 300 ch, 
    • malus : 12 012 € 
    • soit : 60 312 €
  • Alpine A110
    • 59 500 € sans option, 
    • 252 ch, 
    • malus : 1 172 € 
    • soit : 60 672 €
  • Audi TT Heritage 45 TFSi Quattro, 
    • 60 100 € sans option, 
    • 245 ch, 
    • malus : 6 039 € 
    • soit : 66 139 €
  • Mercedes-Benz CLA Shooting Brake 35, 
    • 56 449 € sans option, 
    • 306 ch, 
    • malus 11 488 €
    • soit 67 937 €
  • Audi S4 Avant
    • 78 250 € sans option, 
    • 341 ch, 
    • malus 12 552 €+ 1 100 € 
    • soit 91 902 €

Vous tenez à ce niveau de puissance (245 ch) et 7 places, son cousin Seat Tarraco le propose aussi avec, en bonus, l’hybridation. Il n’y a pas (encore ?) de dérivé Cupra, mais sa version FR a une présentation un peu plus sportive, sans être dans la caricature. Il est proposé à partir de 50 900  € en 7 places, mais dispose d’un peu moins d’options que le Skoda Kodiaq RS (pas de toit ouvrant par exemple). 

Skoda Kodiaq RS, pour quoi faire ?

Difficile de répondre à cette question. En dehors de l’image qu’il renvoie, nous n’avons pas assez d’argument pour le défendre. Ne vous trompez pas sur nos intentions, c’est un très bon véhicule. Mais il y a tant de versions disponibles sur le Skoda Kodiaq, à un prix plus raisonnable et avec des sièges plus confortables, que nous pouvons que vous conseiller de piocher ailleurs dans la gamme. Et pour celles et ceux qui souhaitent à tout prix cette version, vous ne serez pas déçus, une fois mis de côté le budget et le confort relatif des sièges. 

Le seul vrai point négatif dans la gamme du Skoda Kodiaq, c’est le manque de motorisation hybride pour ne pas être assommé par les malus et séduire la clientèle professionnelle. Skoda n’a pas communiqué sur ses volontés, mais espérons que le Skoda Kodiaq n’attendra pas la prochaine génération pour évoluer sur ce point-là, d’autant plus que son cousin Seat Tarraco le propose déjà. A l’extrême, vous pourrez vous tourner vers le Skoda Enyaq EV, bientôt à l’essai sur le Nouvel Automobiliste. 

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Crédits photos : Romuald Terranova, Guillaume AGEZ

Guillaume Agez

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