La citadine aux anneaux est pour la première fois dévoilée au public au Mondial de l’Auto à Paris. Deux nouveautés majeures à son crédit : la disparition de la carrosserie 3-portes ; et une offre moteurs qui pourrait faire l’impasse sur le Diesel.
La nouvelle Audi A1 n’existera qu’en 5-portes
C’est la grande extinction des carrosseries automobiles : les 3-portes disparaissent. L’Audi A1, qui avait été initiée par l’étude Metroproject en 2007 avec 3-portes, quitte cette disposition pour ne plus être proposée qu’en 5-ouvrants. Elle rejoint ainsi les Polo et Ibiza, avec lesquelles elle partage la plateforme MQB A0.
Côté dimensions, l’A1 gagne 6 cm pour totaliser 4,03 m, 9 cm en empattement, et ne perd qu’1 cm en hauteur. L’espace à bord devrait grimper, de même que le coffre promis à 315 litres. Son style, certes conservateur comme toujours chez Audi, n’hésite pas à devenir agressif et à piocher dans l’histoire de la marque. Voyez les ouïes du capot, évocation lointaine de la mythique Quattro.
A bord, l’ambiance Audi est bien présente avec le Virtual Cockpit de série, un écran tactile central allant de 8,8″ à 10,1″, et de la couleur à l’image du SUV Q2.
Si pour l’heure seules les versions essence sont annoncées avec les 1.0l TFSi 95 et 116 ch, le 1.5 TFSi 150 et le 2.0 TFSi 200 ch, il n’est pas dit que l’A1 recevra une offre Diesel, cette dernière disparaissant chez toutes ses concurrentes du segment B. Désormais fabriquée chez Seat à Martorell, la nouvelle A1 devrait s’afficher à partir d’un peu plus de 19 000 euros et aura pour défi d’atteindre, elle aussi, les 100.000 ventes annuelles.